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Question


Repérez dans ce texte six subordonnées relatives.

Dites quel nom elles complètent.
Le véritable bonheur était sur ce toit, derrière
cette fenêtre qu'on fermait si soigneusement. Je me
donnais pour preuve qu'on fermait ainsi les portes
des armoires, derrière lesquelles on cachait la viande.
J'arrêtai le projet de m'enfuir. Il devait y avoir
dans la vie autre chose que de la chair saignante.
C'était là l'inconnu, l'idéal. Un jour, on oublia
de pousser la fenêtre de la cuisine. Je sautai sur un
petit toit qui se trouvait au-dessous.
Que les toits étaient beaux ! De larges gouttières
les bordaient, exhalant des senteurs délicieuses.
Je suivis voluptueusement ces gouttières, où mes
pattes enfonçaient dans une boue fine, qui avait une
tiédeur et une douceur infinies. Il me semblait que
je marchais sur du velours. Et il faisait une bonne
chaleur au soleil, une chaleur qui fondait ma graisse.

1 Réponse

  • Réponse :

    BONJOUR !! un peu de politesse ;)

    Explications :

    - en gras: les propositions relatives

    - soulignés : le nom que ces propositions complètent

    Le véritable bonheur était sur ce toit, derrière

    cette fenêtre qu'on fermait si soigneusement. Je me

    donnais pour preuve qu'on fermait ainsi les portes

    des armoires, derrière lesquelles on cachait la viande.

    J'arrêtai le projet de m'enfuir. Il devait y avoir

    dans la vie autre chose que de la chair saignante.

    C'était là l'inconnu, l'idéal. Un jour, on oublia

    de pousser la fenêtre de la cuisine. Je sautai sur un

    petit toit qui se trouvait au-dessous.

    Que les toits étaient beaux ! De larges gouttières

    les bordaient, exhalant des senteurs délicieuses.

    Je suivis voluptueusement ces gouttières, où mes

    pattes enfonçaient dans une boue fine, qui avait une

    tiédeur et une douceur infinies. Il me semblait que

    je marchais sur du velours. Et il faisait une bonne

    chaleur au soleil, une chaleur qui fondait ma graisse.

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